embauches de faveur

  • “Piston” dans l’audiovisuel : le dirigeant n’est pas responsable

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    Les embauches « de faveur » du dirigeant consistant à procéder à des recrutements davantage fondés sur des considérations « relationnelles » que sur des critères de compétence par rapport aux emplois occupés, ne sont préjudiciables à l’entreprise que si des documents précis, notamment comptables, établissent le préjudice pour l’entreprise.

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