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L’utilisation de l’intérêt légitime comme base légale pour un traitement de données personnelles nécessite une approche rigoureuse et une pondération entre les intérêts de l’organisme traitant et les droits des personnes concernées.
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La mission d’intérêt public est l’une des bases légales prévues par le RGPD sur lesquelles peut reposer un traitement de données personnelles. Son utilisation est particulièrement justifiée pour les traitements réalisés par les autorités publiques dans le cadre de l’exécution de leurs missions.
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L’obligation légale constitue l’une des bases légales prévues par le RGPD pour autoriser la mise en œuvre de traitements de données à caractère personnel. Cependant, son utilisation comme base légale exige que l’obligation soit impérative, suffisamment claire et précise, et que les textes créant cette obligation définissent au moins la finalité du traitement.
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Le contrat constitue l’une des bases légales prévues par le RGPD pour la mise en œuvre de traitements de données personnelles. Cependant, son utilisation comme base légale nécessite que le traitement soit objectivement nécessaire à l’exécution d’un contrat entre l’organisme traitant les données et les personnes concernées.
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La base légale d’un traitement est ce qui légitime légalement sa mise en œuvre, conférant ainsi à une organisation le droit de traiter des données personnelles. On peut également la désigner comme le « fondement juridique » ou la « base juridique » du traitement.