Quelle est la conséquence du silence du directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information sur une demande de certification ?Le silence gardé par le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information pendant une période de trois mois sur une demande de certification est considéré comme une décision de rejet. Cette règle est établie en application du 4° de l’article L. 231-4 et de l’article L. 231-6 du code des relations entre le public et l’administration. Cela signifie que si le directeur général ne répond pas dans le délai imparti, la demande ne sera pas acceptée, et le demandeur ne pourra pas obtenir la certification souhaitée. Quels articles du code des relations entre le public et l’administration sont mentionnés dans l’article 54-12 du Code des postes et des communications électroniques ?L’article 54-12 du Code des postes et des communications électroniques fait référence au 4° de l’article L. 231-4 et à l’article L. 231-6 du code des relations entre le public et l’administration. Ces articles établissent les règles concernant le silence administratif, stipulant que l’absence de réponse d’une autorité administrative dans un délai déterminé peut être interprétée comme un refus implicite de la demande formulée. Cela vise à garantir une certaine efficacité et prévisibilité dans les interactions entre les citoyens et l’administration. Quel est le délai de silence qui entraîne un rejet implicite d’une demande de certification ?Le délai de silence qui entraîne un rejet implicite d’une demande de certification est de trois mois. Si le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information ne se prononce pas sur la demande dans ce délai, cela vaut décision de rejet. Ce mécanisme est conçu pour éviter que les demandes restent sans réponse indéfiniment, permettant ainsi aux demandeurs de connaître rapidement l’issue de leur demande et de prendre les mesures nécessaires en conséquence. Qui est responsable de la décision de rejet en cas de silence sur une demande de certification ?La responsabilité de la décision de rejet en cas de silence sur une demande de certification incombe au directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information. C’est lui qui est chargé d’examiner les demandes de certification et de répondre dans le délai imparti. Si aucune réponse n’est donnée dans les trois mois, cela est interprété comme un refus, ce qui engage la responsabilité de l’administration dans le cadre des règles établies par le code des relations entre le public et l’administration. |
l’administration, le silence gardé par le directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes
d’information pendant trois mois sur la demande de certification vaut décision de rejet.