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En matière de prise de photographies culinaires, savoir-faire technique n’équivaut pas à originalité. L’utilisation d’un « flash puissant » pour donner « l’impression d’un soleil généreux» et d’un miroir pour éclairer un plat ne suffit pas à donner à une photographie l’originalité lui donnant accès à la protection par le droit d’auteur.
Pas plus, l’utilisation de deux spots, l’un sur le devant pour faire ressortir des bouteilles de vin, l’autre plus puissant pour faire ressortir la teinte d’un vin rouge, n’est pas de nature à diffuser l’empreinte de la personnalité de l’auteur. Le travail sur la lumière, un flash sur le côté droit pour restituer une lumière naturelle, un spot en lumière ambiante un peu sur la gauche pour donner une teinte chaude sur des livres, une étiquette et un plateau de table en marbre, ne suffit pas non plus à rendre une photographie éligible à une protection par le droit d’auteur