Une photographie même prise sur le vif est susceptible de protection par le droit d’auteur.
Il importe peu que l’oeuvre n’ait pas été préparée et que le photographe n’ait eu que très peu de temps pour opérer, dès lors que par le choix de l’angle de vue et du cadrage, ainsi que par le traitement effectué postérieurement, consistant à supprimer des éléments accessoires pour ne laisser que l’expression profonde du visage photographié.
Mots clés : Photographies – Originalite
Thème : Photographies – Originalite
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Cour d’appel de Paris | Date : 21 mai 2010 | Pays : France