Un artiste interprète est en droit de poursuivre son manager (agent artistique) en cas de mauvaise exécution de son mandat. Dans cette affaire, un artiste interprète a obtenu la somme de 10 000 euros en réparation de son préjudice d’image et de son préjudice professionnel lié à la réputation d’usurpateur de son manager dans le monde artistique.
Le manager en cause avait mis en avant des récompenses dont l’artiste interprète n’a jamais été titulaire (disque d’or, titre de meilleure artiste-interprète, victoire de la musique…). Le manager avait également été condamné en France pour avoir porté atteinte au pseudonyme Chico (Groupe Gipsy Kings).
Mots clés : Agent artistique
Thème : Agent artistique
A propos de cette jurisprudence : juridiction : Tribunal de Grande instance de Paris | Date : 25 mai 2012 | Pays : France