Films d’animation : le recours aux CDD d’usage
Films d’animation : le recours aux CDD d’usage
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Périmètre de la Convention collective des films d’animation

La Convention collective nationale de la production de films d’animation du 6 juillet 2004 autorise le recours aux CDD d‘usage. La convention collective régit les relations entre les salariés et les employeurs des entreprises dont l’activité est la production de :

– films cinématographiques d’animation ;

– programmes d’animation pour la télévision, la vidéo, internet et le téléphone mobile ;

– films institutionnel ou publicitaire d’animation.

Cette convention collective couvre l’ensemble des entreprises intervenant dans le processus de production, y compris les studios de prestation.

Les entreprises concernées peuvent avoir les codes NAF suivants :

– 92. 1A : production de films pour la télévision ;

– 92. 1B : production de films institutionnels et publicitaires ;

– 92. 1C : production de films pour le cinéma ;

– 92. 1D : prestataires techniques pour le cinéma et la télévision.

Les codes NAF sont donnés à titre indicatif. Le personnel concerné par la convention collective comprend :

– les salariés sous contrat de travail à durée indéterminée ;

– les salariés sous contrat de travail à durée déterminée, y compris sous contrat de travail à durée déterminée dit d’usage tel que défini à l’article L. 1242-2,3° du code du travail (les fonctions occupées en CDD d’usage doivent, pour être éligibles, être affectées à une production, clairement identifiée).

Lorsqu’une entreprise relevant du champ de la convention collective produit :

– un programme audiovisuel (autre qu’un programme d’animation) destiné à une exploitation commerciale quelle qu’elle soit, ou ;

– un programme audiovisuel qui n’est pas destiné à une exploitation commerciale (autre qu’un programme d’animation) mais dont l’entreprise détient les droits d’exploitation, ou ;

– un programme audiovisuel hybride – programme comportant des séquences d’animation et des séquences filmées en prise de vue réelle – destiné à une exploitation commerciale quelle qu’elle soit, ou ;

– un programme audiovisuel hybride qui n’est pas destiné à une exploitation commerciale (autre qu’un programme d’animation) mais dont l’entreprise détient les droits d’exploitation, les rapports entre l’employeur et le salarié sous contrat à durée déterminée dit d’usage – dont l’objet du contrat est le programme audiovisuel ou la partie prise de vue réelle d’un programme audiovisuelle hybride – sont régis par la convention collective de la production audiovisuelle, à l’exception des artistes-interprètes.

Lorsqu’une entreprise relevant du champ de la convention collective produit :

– un film cinématographique de long-métrage, de court métrage ou publicitaire autre qu’un film cinématographique d’animation ; ou

– un film cinématographique de long-métrage, de court métrage ou publicitaire hybride (film comportant des séquences d’animation et des séquences filmées en prise de vue réelle), les rapports entre les employeurs et les salariés, sous contrat à durée déterminée dit d’usage – dont l’objet du contrat est le film cinématographique ou la partie prise de vue réelle d’un film cinématographique hybride – sont régis par la convention collective de la production de films cinématographique (IDCC 3097), dans la mesure où cette réciprocité est également prévue dans la convention collective nationale de la production cinématographique. A ce titre, l’Arrêté du 20 mai 2020 a mis en place des clauses de réciprocité avec la convention collective de la production cinématographique (IDCC 3097) et la convention collective de la production audiovisuelle pour tenir compte du développement des œuvres hybrides dans le secteur de la production de films d’animation. 

Justification du CDD d’usage dans le secteur de l’animation  

En raison des particularités du secteur de la production de films d’animation, le contrat à durée déterminée dit d’usage, tel que défini à l’article L. 1242-2 3° du code du travail, a depuis longtemps été l’instrument des relations contractuelles pour les emplois en lien direct avec la conception, la préproduction et la fabrication de programmes d’animation. Cet usage professionnel, ancien et bien établi, demeure la principale forme contractuelle de travail.

Le recours au CDD d’usage s’inscrit dans un cadre clairement défini, dans le souci de préserver les droits des salariés de la branche, notamment pour les garanties offertes, au cours comme à l’issue du contrat.

Recours aux CDD d’usage 

Le recours au contrat à durée déterminée d’usage n’est possible qu’en cas d’existence d’éléments concrets et précis établissant le caractère par nature non pérenne de l’emploi. Un objet déterminé, dont le caractère temporaire doit être incontestable, doit être défini dans le contrat de travail. Le terme de cet objet doit être soit connu par sa date, soit déterminé par l’intervention d’un événement certain.

L’organisation des CDD d’usage ne doit pas laisser le salarié à la disposition permanente de l’employeur. Le salarié doit ainsi être engagé pour un projet, objet du contrat, clairement identifiable et définissable dans le temps.

Compte tenu des cycles de production des programmes d’animation, l’employeur peut être amené à proposer au salarié sous contrat à durée déterminée dit d’usage, une durée d’emploi de plusieurs mois consécutifs.

Le salarié engagé en CDD d’usage ne devra toutefois pas participer à l’activité permanente de l’entreprise d’animation sous peine de requalification en CDI.  On entend par activité permanente toute activité économique qui ne repose pas, dans la production de films d’animation, sur la réalisation d’un objet de production de film d’animation particulier. Ainsi, le salarié est présumé avoir une activité permanente dans l’entreprise dès lors qu’il n’est plus possible d’individualiser dans ses tâches un objet particulier de production de films d’animation.

Champ d’application des CDDU  

Outre les artistes interprètes et les artistes musiciens, seuls les emplois des filières 2 à 13 de la Convention collective qui se rapportent directement à la conception, au développement et à la fabrication des programmes peuvent faire l’objet d’un contrat à durée déterminée dit d’usage.

Formalisme des CDDU 

Le contrat de travail des salariés sous contrat à durée déterminée d’usage doit prévoir :

– la nature du contrat : contrat à durée déterminée d’usage en application du code du travail ;

– l’objet du recours à un contrat à durée déterminée d’usage : le contrat devra porter mention du titre du programme pour lequel il est conclu et le secteur d’activité auquel il se rattache ; 

– pour les oeuvres audiovisuelles et cinématographiques d’animation, le contrat devra préciser si celui-ci est conclu au titre de la conception ou de la production de l’oeuvre et, dans ce dernier cas, le nombre de contrats éventuellement déjà effectués ;

– la date de début du contrat ;

– la durée minimale du contrat de travail dès lors que celui-ci prend fin à la réalisation de son objet ou la date de fin de contrat s’il s’agit d’un contrat à durée déterminée à date fixe ;

– s’il s’agit d’un contrat à temps plein ou d’un contrat avec des périodes de travail discontinues. Dans ce dernier cas, le contrat mentionnera le nombre de jours de travail et un planning prévisionnel. Le planning définitif fera l’objet d’un ou plusieurs avenants au contrat de travail ;

– le numéro d’affiliation du salarié à la caisse des congés spectacle ;

– les noms et adresses des organismes de protection sociale suivants : caisse de retraite complémentaire, institution de prévoyance ;

– la validité du contrat de travail sous réserve de la présentation de l’attestation d’aptitude au travail délivrée par le centre médical de la Bourse ;

– la date de la dernière visite médicale au centre médical de la Bourse.

Les secteurs d’activité concernés par les CDDU 

4 secteurs d’activité à l’intérieur de la convention collective de la production de films d’animation, doivent être mentionnés sur le contrat de travail du salarié :

– A : oeuvres audiovisuelles d’animation.

– B : oeuvres cinématographiques d’animation.

– C : effets visuels numériques.

– D : autres programmes d’animation.

Concernant le nombre de CDDU, les cycles, les impératifs et les risques de production sont très variables dans les 4 secteurs d’activité définis ci-dessus. Pour les effets visuels numériques, il est impossible d’anticiper le calendrier et le rythme de livraisons par le donneur d’ordre des plans à truquer par le studio.

Pour les programmes d’animation, la prévisibilité des flux de production est plus importante. Toutefois, la production d’un programme d’animation se découpe en plusieurs phases (conception, préproduction et fabrication), qui peuvent faire l’objet d’interruptions de plusieurs mois entre elles ou à l’intérieur même d’une phase, notamment à l’occasion de la conception du programme ou pour la recherche de ses financements. Elle implique plusieurs partenaires internationaux qui interviennent tant dans son financement, sa conception que sa fabrication. Cette multiplicité d’acteurs renforce considérablement les risques de rupture de chaînes de fabrication, notamment pour les prestataires intervenant en fin de production.

Pour toutes ces raisons, l’employeur doit être en mesure de pouvoir contracter plusieurs fois avec le salarié pour un même objet pour les différents secteurs d’activité visés.  

Néanmoins, les règles suivantes s’appliquent : 

Pour les programmes relevant des catégories A et B, l’employeur ne peut conclure plus de 4 contrats différents avec un salarié pour l’ensemble des étapes correspondant à la production de l’œuvre. L’employeur devra stipuler dans le contrat de travail du salarié qu’il est bien employé pour une phase de ” production ” et le nombre de contrats éventuellement déjà effectués.

Les fractionnements de contrat réalisés à la demande écrite du salarié, notamment pour convenance personnelle, ne sont pas comptabilisés pour l’établissement du nombre de contrats maximum. Ces cas de fractionnement sont portés à la connaissance des élus du personnel présents dans l’entreprise.

Cette limitation peut être aménagée par accord d’entreprise. Les partenaires sociaux à ce niveau devront définir les circonstances particulières de cet assouplissement et les contreparties envisagées.

Pendant la période de conception qui est le plus souvent discontinue, ce nombre de contrats n’est pas limité. L’employeur devra stipuler sur le contrat de travail du salarié qu’il est bien employé pour la phase de ” conception ” de l’oeuvre.

Par ailleurs, l’employeur doit pouvoir contracter sans limitation avec un certain nombre de salariés qui interviennent de manière ponctuelle sur la production. Les partenaires sociaux conviennent de limiter cette possibilité aux fonctions suivantes : story-boarder, animateur feuille d’exposition, monteur, bruiteur.

Pour les programmes relevant des catégories C et D, l’employeur doit pouvoir contracter sans limitation avec le salarié.

Indemnisation pour rupture d’une collaboration en CDDU de longue durée

L’employeur, qui ne propose pas de nouveau contrat à un salarié en contrat à durée déterminée d’usage, doit avertir le salarié de sa volonté sous 1 mois de préavis et doit indemniser le salarié si trois conditions sont réunies :

–   le salarié a travaillé pendant 3 années consécutives avec le même employeur ;

–   le salarié a travaillé plus de 1 064 heures ou plus de 152 jours par an pour ce même employeur ;

–   l’employeur envisage de ne plus proposer de nouveau contrat que ce soit en contrat à durée déterminée (d’usage ou de droit commun) ou à durée indéterminée.

L’indemnité est égale à 25 % du salaire mensuel moyen par année de collaboration continue.

Le salaire mensuel moyen est calculé en additionnant l’ensemble des salaires versés, au titre du travail, sur la dernière année de collaboration et en divisant cette somme par le nombre de mois d’activité dans l’entreprise sur cette même année.

Si l’employeur prévoit qu’une nouvelle production peut survenir dans les 12 mois du dernier contrat du salarié, il peut rédiger une lettre accordant une priorité d’emploi au salarié pour ce futur projet. Dans ce cas, l’indemnité de fin de collaboration n’est pas due. En cas de non-réalisation du contrat envisagé, dans le délai de 12 mois, le salarié reçoit son indemnité de fin de collaboration. Si le salarié a, dans l’intervalle, retrouvé un emploi et qu’il ne peut honorer l’engagement proposé par l’employeur, le salarié peut demander le versement d’une fraction de l’indemnité calculée au prorata de la durée de sa période de chômage.

Le versement de l’indemnité de fin de collaboration ne s’oppose pas à une nouvelle collaboration entre l’employeur et le salarié. Si le salarié réunit à nouveau les conditions pour une nouvelle indemnisation, la base de calcul de cette dernière ne prendra pas en compte les périodes ayant supporté une précédente indemnisation.

Les emplois autorisés en CDDU

Filière 2 : tronc commun

SecteurFonctions
(suivies de la version féminisée)
PositionCatégorie
RéalisationRéalisateur
Réalisatrice

I

Directeur de l’image/ photo
directrice de l’image/ photo



Directeur artistique
Directrice artistique



Directeur d’écriture
Directrice d’écriture



Directeur/ superviseur de projet
Directrice/ superviseuse de projet



Directeur/ superviseur de projet adjoint
Directrice/ superviseur de projet adjointe



Story-boarder
Story-boardeuse
Chef

ConfirméII

Assistant story boarder
Assistante story boardeuse

V

1er assistant réalisateur
1er assistante réalisatrice

II

Scripte
Scripte

III B

2e assistant réalisateur
2e assistante réalisatrice

IV

Coordinateur d’écriture
Coordinatrice d’écriture


Conception/ fabrication des élémentsDirecteur décor
Directrice décor

I

Dessinateur d’animation
Dessinatrice d’animation
Chef

ConfirméIII B

Superviseur pipeline
Superviseuse pipeline

III A

Infographiste pipeline
Infographiste pipeline
ConfirméIII B

Assistant infographiste pipeline
Assistante infographiste pipeline

V

Directeur/ superviseur rigging/ sep up
Directrice/ superviseuse rigging/ set up

I

Infographiste rigging/ set up
Infographiste rigging/ set up
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste rigging/ set up
Assistante infographiste rigging/ set up

V

Décorateur
Décoratrice
ChefII

ConfirméIII B

Assistant décorateur
Assistante décoratrice

V

Coloriste
Coloriste

IV
Lay OutDirecteur/ superviseur lay-out
Directrice/ superviseuse lay-out

I

Infographiste lay-out
Infographiste lay-out
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste lay-out
Assistante infographiste lay-out

V
AnimationDirecteur/ superviseur d’animation
Directrice/ superviseuse d’animation

I

Chef assistants animateurs
Cheffe assistants animateurs

III A

Animateur
Animatrice
ChefII

ConfirméIII B

Assistant animateur
Assistante animatrice

IV
CompositingDirecteur/ superviseur compositing
Directrice/ superviseuse compositing

I

Infographiste compositing
Infographiste compositing
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste compositing
Assistante infographiste compositing

V
Post productionDirecteur technique post prod
Directrice technique post prod

I

Ingénieur du son
Ingénieure du son

II

Responsable technique post prod
Responsable technique post prod



Bruiteur
Bruiteuse

III A

Directeur stéréographe
Directrice stéréographe

I

Stéréographe
Stéréographe
ChefII

ConfirméIII B

Assistant stéréographe assistante stéréographe
V

Monteur d’image/ son/ animatique
Monteuse d’image son/ animatique
ChefII

ConfirméIII B

Assistant monteur d’image/ son/ animatique
Assistante monteuse d’image/ son/ animatique

V

Étalonneur numérique
Étalonneuse numérique
ChefII

ConfirméIII B

Assistant étalonneur numérique
Assistante étalonneuse numérique

V

Détecteur d’animation détectrice d’animation
IV

Opérateur son
Opératrice son

III B

Assistant opérateur son
Assistante opératrice son

V
TechniqueInfographiste développeur
Infographiste développeuse

III B

Responsable d’exploitation
Responsable d’exploitation

II

Administrateur système et réseaux (*)
Administratrice système et réseaux (*)



Technicien système, réseau et maintenance (*)
technicienne système, réseau et maintenance (*)

III B

Opérateur système réseau et maintenance (*)
Opératrice système réseau et maintenance (*)

V

Superviseur data et calcul
Superviseuse data et calcul

III A

Opérateur data et calcul
Opératrice data et calcul

III B
ProductionDirecteur de production
Directrice de production

I

Superviseur de production
Superviseuse de production

II

Administrateur de production
Administratrice de production

III A

Chargé de production
Chargée de production



Comptable de production
Comptable de production

III B

Coordinateur de production
Coordinatrice de production

IV

Assistant de production
Assistante de production

V

Directeur technique
Directrice technique

I

Infographiste technique
Infographiste technique

III B

Assistant infographiste technique
Assistante infographiste technique

V

Filière 3 : animation 2D

SecteurFonctions
(suivies de la version féminisée)
PositionCatégorie
Conception/ fabrication des élémentsChef modèles couleurs
Cheffe modèles couleurs

II

Assistant dessinateur
Assistante dessinatrice

V
Lay OutDessinateur lay-out
Dessinatrice lay-out
ChefII

ConfirméIII B
AnimationAnimateur feuilles d’exposition
Animatrice feuilles d’exposition
ChefII

ConfirméIII B

Intervalliste
Intervalliste

V
Traçage, scan et colorisationVérificateur d’animation
Vérificatrice d’animation
ChefIII A

ConfirméIII B

Vérificateur trace colorisation
Vérificatrice trace colorisation
ChefIII A

ConfirméIII B

Responsable scan
Responsable scan

IV

Traceur
Traceuse

V

Gouacheur
Gouacheuse



Opérateur scan
Opératrice scan


Filière 4 : animation 3D

SecteurFonctions
(suivi de la version féminisée)
PositionCatégorie
Conception/ fabrication des élémentsDirecteur/ superviseur de modélisation
Directrice/ superviseuse de modélisation

I

Directeur/ superviseur textures et SHADING
Directrice/ superviseuse textures et SHADING



Directeur effets dynamiques et des simulations
Directrice effets dynamiques et des simulations



Designer
Designeuse

II

Sculpteur 3D
Sculpteuse 3D
Chef

ConfirméIII B

Assistant sculpteur 3D
Assistante sculpteuse 3D

V

Infographiste de modélisation
Infographiste de modélisation
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste de modélisation
Assistante infographiste de modélisation

V

Infographiste textures et shading
Infographiste textures et shading
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste textures et shading
Assistante infographiste textures et shading

V

Infographiste d’effets dynamiques/ simulations
Infographiste d’effets dynamiques/ simulations
ChefII

ConfirméIII B

Assistant infographiste d’effets dynamiques/ simulations
Assistante infographiste d’effets dynamiques/ simulations

V
Rendu et éclairageDirecteur/ superviseur rendu éclairage
Directrice/ superviseuse rendu éclairage

I

Infographiste rendu éclairage
Infographiste rendu éclairage
ConfirméIII B

Assistant infographiste rendu éclairage
Assistante infographiste rendu éclairage

V

Directeur matte painting
Directrice matte painting

I

Infographiste matte painting
Infographiste matte painting

III B

Assistant infographiste matte painting
Assistante infographiste matte painting

V
Effets visuels numériquesDirecteur des effets visuels numériques
Directrice des effets visuels numériques

I

Infographiste des effets visuels numériques
Infographiste des effets visuels numériques
ChefII

ConfirméIII A

Assistant infographiste des effets visuels numériques
Assistant infographiste des effets visuels numériques

V

Filière 5 : volume

SecteurFonctions
(suivies de la version féminisée)
PositionCatégorie

Animateur volume
Animatrice volume
ChefII

ConfirméIII B

Assistant animateur volume
Assistante animatrice volume

IV

Décorateur volume
Décoratrice volume
ChefII

ConfirméIII B

Assistant décorateur volume
Assistante décoratrice volume

V

Opérateur volume
Opératrice volume
ChefII

ConfirméIII B

Assistant opérateur volume
Assistante opératrice volume

V

Plasticien volume
Plasticienne volume
ChefII

ConfirméIII B

Assistant plasticien volume
Assistante plasticienne volume

V

Accessoiriste volume
Accessoiriste volume
ChefIII A

ConfirméIII B

Assistant accessoiriste volume
Assistante accessoiriste volume

V

Technicien effets spéciaux volume
Technicienne effets spéciaux volume

III B

Mouleur volume
Mouleuse volume
ChefIII A

ConfirméIV

Assistant mouleur volume
Assistante mouleuse volume

V

Mécanicien volume
Mécanicienne volume
ChefIII A

ConfirméIII B

Assistant mécanicien
Assistante mécanicienne

V

Filière 6 : motion capture

SecteurPostes
(en italique la version féminisée)
PositionCatégorie
Tournage MOCAPSuperviseur MOCAP
Superviseuse MOCAP

I

Opérateur capture de mouvement
Opératrice capture de mouvement

III B

Assistant opérateur capture de mouvement
Assistante opératrice capture de mouvement

V

Opérateur retouche en temps réel
Opératrice retouche en temps réel

III B

Assistant opérateur retouche en temps réel
Assistante opératrice retouche en temps réel

V

Opérateur traitement et intégration
Opératrice traitement et intégration

III B

Assistant opérateur traitement et intégration
Assistante opératrice traitement et intégration

V

Opérateur HEADCAM
Opératrice HEADCAM

III B

Assistant opérateur HEADCAM
Assistante opératrice HEADCAM

V

Filière 7 : artiste de complément

SecteurFonctions
(suivies de la version féminisée)
PositionCatégorie

Figurant MOCAP
Figurante MOCAP

III B

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